Alors que tout prêtait à croire qu’une fusion à 50/50 entre les deux constructeurs était possible, nous avons appris avec désarroi qu’il n’en sera finalement rien!
Tout ça pour ça! Les réunions se sont pourtant enchaînées avec pour objectif de trouver des solutions...mais tout n'est pas aussi simple.
En effet, car dans un premier temps le groupe FCA envisageait de signer rapidement sans vraiment laisser de marge de négociation à Renault...ce qui ne facilitait pas les choses!
Ensuite, parce que l'Etat, actionnaire du groupe Renault à hauteur de 15% du capital, demandait des garanties plus complètes et cinq jours supplémentaires afin d'envisager toutes les possibilités.
Même si la préservation des emplois et sites industriels en France avait été validée, des garanties telles que le maintien des accords avec Nissan était également primordial.
Le groupe Renault a "fait part de sa déception de ne pouvoir approfondir la proposition de FCA".
FCA cherchera-t-il à se rapprocher d'un autre groupe automobile?
A suivre...